Livraison en toute discrétion

Juil 10

sextoy

dur dur l’adolesecence

Juil 09

– Maman je peux me maquiller ?
– Non.
– Alors mettre une jupe ?
– Non.
– Et des talons ?
– Non.
– Mais maman j’ai 17 ans.
– Je sais Thomas.

Linge sale

Juil 08

Un jeune couple venait de s’installer dans un nouveau quartier.

Le lendemain matin, au moment où le couple prenait le petit déjeuner, la femme aperçut leur voisine qui étendait du linge sur un séchoir.
– Quel linge sale ! dit elle. Elle ne sait pas laver. Peut-être a-t-elle besoin d’un nouveau savon pour mieux faire sa lessive !
Son mari regarda la scène mais garda le silence.

C’était le même commentaire chaque fois que la voisine séchait son linge…

Après un mois, la femme fut surprise de voir un matin que le linge de sa voisine était bien propre et elle dit à son mari :
– Regarde ! Elle a appris à laver son linge maintenant. Qui le lui a enseigné ?

Le mari répondit :
– Non… Je me suis levé tôt ce matin et j’ai lavé les vitres de notre fenêtre !

Ainsi va la vie :
Tout dépend de la propreté de la fenêtre à travers laquelle nous observons les faits. Avant de critiquer, il faut vérifier d’abord la qualité de notre regard. Alors, nous pouvons voir avec clarté la limpidité du cœur des autres.

Ah … les femmes

Juil 07

La différence entre les besoins sexuels d’un homme et les désirs d’une femme m’a toujours sidéré.

Au lit, l’autre soir avec ma femme, la température montait rapidement.

Au moment de passer aux choses sérieuses, elle m’arrêta et me dit : « Non, mon amour, je ne me sens pas bien… »

Puis elle ajouta : « Je n’ai pas spécialement envie, je voudrais juste que tu me tiennes dans tes bras. Tu n’es pas assez en phase avec mes besoins émotionnels de femme pour que j’aie envie de satisfaire tes besoins sexuels d’homme ! »

À mon regard ébahi, elle enchaîna : « Je voudrais que tu m’aimes pour ce que je suis et non pour ce que je fais pour toi au lit. »

Comprenant que rien ne se passerait ce soir-là, je n’insistai pas et je m’endormis. Quelque temps après, comme j’avais des congés à récupérer, je décidai de passer une belle journée avec elle.

Après un dîner dans un petit restaurant sympa, je l’emmenai dans un grand magasin de mode où je l’invitai à essayer divers vêtements sous mon regard intéressé.Pendant un long moment, elle essaya tout ce qui tombait sous ses yeux et parada devant moi comme une star. Finalement, deux robes retinrent spécialement son attention. Comme elle ne savait pas se décider, je lui laissai entendre qu’elle prendrait bien les deux. À l’étage suivant se trouvait le rayon des chaussures. Une paire neuve par robe semblait indispensable.
Une jolie paire de boucles d’oreilles lui faisait de l’œil, hop, dans le panier! Croyez-moi, ses yeux brillaient de plus en plus!!! Je la connais, je voyais monter en elle une forme d’excitation indescriptible. Elle voulut même me tester, voir jusqu’où j’irais, car elle s’intéressa aux bracelets de style tennis…. Je répondis oui. Puis il eut quelques paires de bas, de la lingerie, un foulard, les rayons parfum et maquillage et quelques bricoles.

Finalement, elle me regarda avec des yeux pétillants comme du champagne et dit : « Ça va être cher tout ça, on passe à la caisse quand ? »

Je répondis : « Non, mon amour, je ne me sens pas bien…. »

Son visage devint béat d’étonnement et sa bouche resta ouverte.

Je lui dis alors : « Je n’ai pas spécialement envie, je voulais simplement te voir habillée ainsi. Tu n’es pas assez en phase avec mes capacités financières d’homme pour que je puisse satisfaire tes désirs d’achats de femme. »

Et comme elle me regardait avec des yeux assassins, j’ajoutai : « Je voudrais que tu m’aimes pour ce que je suis et non pour ce que je t’achète! »

À défaut d’orgasme, putain, que ça m’a fait du bien.

Signé : MICHEL

N.B. Le corps de MICHEL sera exposé samedi prochain au salon funéraire…;-))*

Vous arrive-t-il d’aider à pousser ?

Juil 06

Un mec complètement bourré vient sonner chez des gens à 4 heures du matin.
L’homme de la maison se lève et demande furieux :
– Qu’est-ce que tu veux ?
L’autre répond :
– Viens me pousser ! Il faut que tu viennes me pousser !
Excédé le propriétaire de la maison lui dit :
– Je ne te connais pas, il est 4 heures du matin et tu me réveilles pour me dire de te pousser ! Vas te faire foutre…
De nouveau dans sa chambre, il se remet au lit mais sa femme le sermonne :
– Quand même, tu exagères, cela t’est déjà arrivé d’être en panne, tu aurais pu le pousser ce pauvre type !
– Ouais, mais en plus il est bourré.
– Raison de plus pour le pousser, il ne va pas y arriver tout seul. Non là vraiment je ne te reconnais pas, je suis très déçue de ton attitude…
Son mari, pris de remords, se rhabille et descend. Il ouvre la porte et dit :
– Eh mec, je vais te pousser, tu es où ?
Et le mec bourré répond :
– Là, sur la balançoire !

C’est vendredi, il est 18h, bye !

Juil 05

vendredi-bye

Escargot de mer

Juil 05

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